Des opinions des ours « urbains » dans de nord du Colombie-Britannique

Auteur

Charlie Loewen

Publié

29 sept. 2016

Édité

29 sept. 2016

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Ours noir à Parc National Jasper (W Lynch)

Pour des résidents de beaucoup des communautés dans les montagnes, un rendez-vous de chance avec un coyote ou un ours est quelque chose ordinaire. L’augmentation de développement humain a réduit la quantité d’habitat naturel disponible aux animaux, qui cause quelques espèces de relier plus excessivement sur des paysages urbains. Quelques espèces peuvent bénéficier de l’utilisation des areas développés, mais ça peut créer des conflits. Par instance, des résidents peuvent lutter contre des ours « problèmes » qui fouiller dans leur déchets ou jardins.

Pour mieux comprendre les ours sont considérés par nous qui vivons selon eux, des chercheurs d’Université du nord de la Colombie-Britannique ont fait une enquête dans la communauté de Prince George, CB. Ils ont trouvé que plus de la moitié des participants ont rencontré au moins d’un ours noir dans l’année passée et que les ours étaient vus dans la communauté. Il y aurait des variations de perception, mais la plupart des résidents sentaient positif ou indiffèrent environ la présence des ours dans leur ville. La majorité ont indiqué qu’ils ont pris des précautions d’éviter attirer des ours (par exemple : cueillir toutes des fruites dans leurs jardins de derrière) mais des avis étaient divisé de comment des ours urbains doit être géré. Des suggestions de gestions ont rangé d’introduire des restrictions ou pénalités pour des résidents qui attirent des ours, de la relocation ou l’euthanasie des ours eux-mêmes. En général, des attitudes sur le sacrifice des ours étaient scindé, avec environ un moitie de répondants qui ont suggéré que l’euthanasie peut être nécessaire quelque fois.

Malgré la variation des avis, des répondants ont préféré clairement des approches non létales pour la gestion des ours dans leur communauté. Parce que la perception généralement positive des ours et le grand nombre des personnes prennent des mesures de prévenir des conflits, cette étude suggère que des résidents sont disposé de considérer une variété des options de gestion qui offert d’espoir qui on peut apprendre comment de meilleur partager nos espaces de montages avec nos voisins sauvages.

Cet article est un article écrit par Charlie Loewen. Pour plus des renseignements, lire la recherche originale publié (en anglais) :

Annie L. Booth & Daniel Ryan (2016) Goldilocks revisited: public perceptions of urban bears in northern British Columbia. Human Dimensions of Wildlife, 21:460–470 (doi:10.1080/10871209.2016.1183730).

Traduit par Rebecca Isbister

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