Un chantier-école d’anthropologie vise à augmenter la recherche communautaire au Yukon

Auteur

Chenoa Sly

Publié

10 avr. 2017

Édité

10 avr. 2017

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Yukon Territory

Photo par Matthew Berry

Ce printemps dernier,  Sabrina Peric professeur adjoint d’Anthropologie a offert un chantier-école au Yukon pour des étudiants de premier cycle appelé en anglais «The Dynamic North: Climate, Economy and Culture in Anthropological Perspective.» Le cours a duré de mai à juin de 2016 et va continuer chaque deux ans par le programme d’Université de Calgary «Group Study » et le département d’anthropologie et d’archéologie d’Université de Calgary. (325)

Le chantier-école, diffèrent de beaucoup des autres dans la région, ne concentre pas sur les sciences naturels ou l’archéologie. Mais, l’école concentre de donner « des étudiants l’opportunité d’apprendre directement de l’histoire, la politique, les sociétés et les cultures du Yukon, ainsi d’éliminer une déconnexion à long terme entre des résidents des régions de sud du Canada et leurs homologues du nord » et donner des étudiants « une opportunité d’apprendre de la recherche communautaire dans des communautés du nord par les introduire à la fois le dessin de recherche du nord et les considérations éthiques de travailler dans les communautaires du nord tout autant autochtones et non-indigènes » (329).

Peric dit que « Les impacts de changement climatique sont divers comme les défis qu’ils causent des communautés. Mais une caractéristique particulière de ces effets sur des communautés est qu’ils sont spécifiques à une ville et sont dépendants du sentier (Hess et al., 2008).

En d’autres termes, la vulnérabilité d’une communauté va varier d’un endroit d’un autre et va dépendre considérablement sur leurs conditions politiques et économiques » (329). Peric a l’intention de faire problématique l’idée très fréquente dans des universités du sud « qu’il faut qu’un chercheur seul formuler les questions principales de recherche, qui sont motivé surtout de leurs intérêts » (325). Le chantier-école insiste sur la recherche communautaire et incite des étudiants de « penser en détail à quoi devraient ressembler la recherche communautaire et comment des chercheurs peuvent répondre aux question formulés des peuples du nord désigné par des communautés du nord et de recherche conduit par Nordistes en un partenariat avec des universités et des autres institutes de recherche » (325).

Dans son année inaugurale, l’école était un groupe de onze étudiants et un instructeur, qui a inclut deux étudiants de la région qui assistent à l’école avec l’aide financière de la Faculté des arts et le département d’anthropologie d’Université de Calgary. La faculté et le département ont un plan de continuer cette action et de prioriser des candidats de la région Kluane et les territoires traditionnels et la Première Nation de Kluane et les Premières Nations Champagne et Aishihik.

Lungwort flower-Yukon

Une grande fleur pulmonaire dans le territoire Yukon. Photo par Matthew Berry.

Le chantier-école a inclut des discussions en salle de classe à Calgary de comment le changement climatique peut augmenter l’inégalité sociale, des définitions en compétition de changement climatique, et de l’autorité scientifique environ le changement climatique.

Les étudiants du chantier-école ont participé la table ronde de Sécurité de nourriture du Yukon fait par l’Institut Arctique de Recherche Communautaire (en anglais l’Arctic Institute of Community-Based Research [AICBR]) un organisation à but non-lucratif à Whitehorse déterminé à des «partenariats intersectoriel avec des gouvernements d’autochtones, territorial et fédéral, des académiques, et le secteur privé » à Whitehorse, Yukon (326). Les étudiants ont fait une randonnée dans Miles Canyon d’apprendre environ l’histoire environnementale d’extraction des ressources, et un voyage à Musée McBridge d’Histoire du Yukon (en anglais “the Miles McBridge Museum of  Yukon History“) de comprendre mieux des représentations officiels d’histoire et des relations coloniaux pendant La ruée vers l’or du Klondike (326).

La majorité de la duration du chantier-école était à la Station de Recherche de Kluane Lake à l’Institut Arctique de Recherche Communautaire dans le sud-ouest du Yukon « près de la calotte glaciaire non polaire la plus grande du monde et dans l’ombre de la chaîne Saint-Élie (326). Peric pense que cet endroit est bien d’apprendre des « répercussions continués des politiques foncières de la période coloniale » (326). Près de la fin du voyage, les étudiants ont passé trois jours en Alaska d’apprendre des communautés transfrontalières en discussion de surmonter des défis au-dessus des frontières (328).

Cet article est un sommaire écrit par Chenoa Sly. Pour plus des renseignements veuillez consulter la publication originale (en anglais):

Peric, S. (2016). The Dynamic North: Northern Climate Change from an Anthropological Perspective. Arctic, 69(3), 325-329.

Science Borealis
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