Les communautés végétales pour freiner le réchauffement climatique dans les milieux arctiques et alpins

Auteur

Charlie Loewen

Publié

14 oct. 2016

Édité

14 oct. 2016

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Scott-Williamson-Yukon

La zone étudiée á Ruby Range, le sud-ouest du Yukon (S Williamson)

Dans l’arctique, en particulière les régions montagneuses, l’accroissement des températures ont eu l’effet d’atténuer la couche de neige et la saison de végétation pour les arbustes et des autres plantes. Ces changements environnementaux affectent les communautés écologiques locaux, mais il est possible d’influencer les conditions atmosphériques.

Par exemple, les réductions de la couche de neige ont la possibilité d’amplifier la quantité d’énergie absorbé de la surface de la terre et augmenter les températures parce que la neige réfléchit plus de lumière du soleil que la terre ou la végétation. Par conséquent, le réchauffement peut créer une boucle de réaction positive, dont les températures élevées faisant des changements maux en la couverture terrestre, qui causent plus de réchauffement et plus d’altération de la couverture terrestre, et plus.

Un des facteurs qui a vraisemblablement influencé la rétroaction potentielle entre la couverture terrestre et le climat est la proportion de lumière réfléchie par la surface ou l’albédo des différents types de végétation. Pour faire l’évaluation des variations de l’albédo, des chercheurs de l’Université de l’Alberta ont pris une série des mesures dans des locations avec des communautés différentes des plantes dans les montages du subarctique du sud-ouest du Yukon. Ils ont appris que le développement du feuillage nouveau a augmenté la réfléchissant des locations différentes au cours de la saison de croissance qui a contrebalancé partiellement l’effet chauffage de la fonte de neige plus tôt. Il y aurait de grandes différences entre l’albédo entre les variétés de végétation. Les communautés de plantes avec arbustes petits et plats ont eu la réflectivité la plus haute alors arbustes de feuillage très dense ont eu le moins. Les résultats montrent que le réchauffement du futur dépend comment les espèces des arbustes différents gonflent dans l’environnement arctique et alpestre en changement.

Puisque les arbustes petits et réflectifs sont prévus à dominer sous les conditions plus chauds, cette recherche suggère que les écosystèmes du nord et des altitudes élevées peuvent répondre naturellement d’une manière qui contrôle plus de chauffage.

Cet article est un résumé d’un plus long article écrit par Charlie Loewen. Pour plus des renseignements, lire la recherche originale publié (en anglais) :

Scott N. Williamson, Isabel C. Barrio, David S. Hik & John A. Gamon (2016) Phenology and species determine growing-season albedo increase at the altitudinal limit of shrub growth in the sub-Arctic. Global Change Biology, 22:3621–3631 (doi:10.1111/gcb.13297).

Traduit par Rebecca Isbister

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